Je parle de choses et d'autres

Je parle de choses et d'autres



De quoi vais-je parler aujourd'hui ?


Mais de quoi je vais parler ?


Aujourd'hui, normalement, je devais continuer mon article sur le contenu pour les réseaux sociaux.

Mais, je n'ai pas envie. Je continuerai une autre fois.

J'ai envie de parler d'autres choses, mais je ne sais pas de quoi. Alors, je vais commencer à écrire et ça va venir.

Bon, je commence par faire un rapide bilan sur ce qui s'est passé en six mois. Ça fait un peu plus de six mois que je suis sur les réseaux sociaux, mais j'ai l'impression que ça fait six ans, peut-être pas six ans, mais au moins un an ou deux.

Je suis venu pour parler de mon roman et finalement plus ça va, moins j'en parle.

En fait, je trouve de l'intérêt à être sur les réseaux sociaux, à côtoyer des gens qui écrivent, à créer du contenu.

Comme en ce moment, j'écris un autre roman, c'est motivant d'être en contact avec d'autres personnes qui font pareil. J'espère arriver au bout de ce nouveau roman.

D'écrire, d'être sur les réseaux sociaux me permet d'atteindre le haut de la pyramide de Maslow.

Pour ceux qui ne connaissent pas, Maslow était psychologue et a élaboré une échelle des besoins humains via une pyramide.




A la base de la pyramide, il y a les besoins physiologiques (tels que la faim, la soif).

Ensuite, les besoins de sécurité et de protection (tels que le désir d'un toit ou d'une bonne assurance). 

Puis viennent les besoins d'appartenance, besoins sociaux qui reflètent la volonté de faire partie d'une famille, d'un groupe, d'une tribu.

Ensuite arrivent les besoins d'estime de soi (qui permettent de se regarder dans le miroir le matin).

Enfin, apparaissent au sommet de la hiérarchie, les besoins de s'accomplir, ce que Maslow a appelé le N-Ach, le need of achievement,

D'écrire, de partager sur les réseaux sociaux permet d'atteindre le sommet de la pyramide de Maslow, le besoin d'accomplissement.



Des nouvelles de ma chaîne YouTube


Rien de spécial de ce côté là. Je n'avais pas envie de faire de vidéo, alors je n'en ai pas fait.

Il y a quelque chose que j'aimerais faire dans une prochaine vidéo, c'est d'en composer la musique. Quand j'étais jeune avant d'écrire, j'aimais bien composer des petites symphonies, j'espère pouvoir faire quelque chose de correct, peut-être pas un chef d’œuvre, mais juste quelque chose d'harmonieux. C'est un peu un défi que je fixe.

Sinon ce week-end, j'ai écrit deux poèmes, un sur les rapaces nocturnes et un autre sur les étoiles.

Voici un poème sur les rapaces nocturnes, grands oubliés des poèmes.




Les plumes de la nuit

Le soir, quand progressivement
Disparaissent les parades
De nos mascarades,
En ces instants, où le soleil est défaillant,
Apparaissent les rapaces, brumeux,
Presque invisibles, de nos nuits.
Pendant que nos ennuis
Progressivement, le soir, s'endorment,
Ces habitants de l'obscurité,
Je crois, parlent à la Lune
Et vont jusqu'à la tutoyer
Et à se perdre dans ses sèches et blanches lagunes. 


Au matin, il ne reste éparpillées,
Saupoudrées,
Ça et là que quelques plumes,
Un léger dépôt, sur le bitume,
Un enduit
Fait des plumes de la nuit.



Quand vous regardez les étoiles, vous regardez des images du passé.  
Hier matin, je me suis dit qu'en regardant la nuit le ciel, on ne voyait, en fait, sur terre que des souvenirs, des souvenirs de lumière.




Les souvenirs de lumière 

Depuis des millénaires, 
À des années-lumière 
De la terre 
S'opère 
De spatiaux ballets, 
Chorégraphiés 
Par les lois de la physique, 
Une très théorique musique, 
Dont on ne voit sur terre, 
Que des souvenirs de lumière.


Finalement, j'en avais des choses à dire.

Suite à cet article ou à la vidéo, si vous avez des remarques, n'hésitez pas à laisser un commentaire, ici ou sur les réseaux sociaux.

Je vous remercie d'avoir pris le temps pour me lire.

Alexandre.


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